Vous pouvez faire confiance à Advil Toux, Rhume et Grippe et à Advil Rhume et Sinus pour soulager le mal de gorge, les maux de tête, la douleur sinusale, les douleurs générales, la fièvre et les autres symptômes dus au rhume ou à la grippe1
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- La science derrière Advil
- Profil de tolérabilité globale et digestive
- Profil d’innocuité cardiovasculaire
- Profil d’innocuité hépatique et rénale
- Efficacité éprouvée en clinique
- Pour les patients à la recherche d’un soulagement de la douleur aiguë ou de la fièvre dues aux symptômes du rhume et de la grippe
- Renseignements détaillés sur Advil Toux, Rhume et Grippe et Advil Rhume et Sinus
Advil Rhume et Grippe est efficace pour combattre les symptômes du rhume et de la grippe
Éprouvé, sûr et efficace lorsqu’il est utilisé selon les directives, Advil Rhume et Grippe sous forme de caplets contient 200 mg d’ibuprofène pour soulager le mal de gorge, la douleur sinusale, les céphalées, la fièvre et les douleurs et courbatures mineures dus au rhume et à la grippe. Il renferme aussi 38 mg de citrate de diphénhydramine, un autre ingrédient actif (pour en savoir davantage à ce sujet, consultez la section Renseignements détaillés sur Advil Toux, Rhume et Grippe et Advil Rhume et Sinus).
AdvilToux, Rhume et Grippe Nuit est efficace pour combattre les symptômes du rhume et de la grippe
Éprouvé, sûr et efficace lorsqu’il est utilisé selon les directives, Advil Toux, Rhume et Grippe Nuit sous forme de caplets contient 200 mg d’ibuprofène pour soulager le mal de gorge, la douleur sinusale, les céphalées, la fièvre et les douleurs et courbatures mineures dus au rhume et à la grippe. Il renferme aussi 25 mg de chlorhydrate de diphénydramine (pour en savoir davantage à ce sujet, consultez la section Renseignements détaillés sur Advil Toux, Rhume et Grippe et Advil Rhume et Sinus).
Advil Rhume et Sinus Liqui-Gels est efficace pour combattre les symptômes du rhume et de la grippe
Éprouvé, sûr et efficace lorsqu’il est utilisé selon les directives, Advil Rhume et Sinus Liqui-Gels sous forme de capsules de gélatine contient 200 mg d’ibuprofène pour soulager le mal de gorge, la douleur sinusale, les céphalées, la fièvre et les douleurs et courbatures mineures dus au rhume et à la grippe. Il renferme aussi 30 mg de chlorhydrate de pseudoéphédrine (pour en savoir davantage à ce sujet, consultez la section Renseignements détaillés sur Advil Toux, Rhume et Grippe et Advil Rhume et Sinus).
Advil Rhume et Sinus Nuit est efficace pour combattre les symptômes du rhume
Éprouvé, sûr et efficace lorsqu’il est utilisé selon les directives, Advil Rhume et Sinus Plus sous forme de caplets contient 200 mg d’ibuprofène pour soulager le mal de gorge, la douleur sinusale, les céphalées, la fièvre et les douleurs et courbatures mineures dus au rhume et à la grippe. Il renferme aussi 30 mg de chlorhydrate de pseudoéphédrine et 2 mg de maléate de chlorphéniramine (pour en savoir davantage à ce sujet, consultez la section Renseignements détaillés sur Advil Toux, Rhume et Grippe et Advil Rhume et Sinus).
Advil Rhume et Sinus Plus est efficace pour combattre les symptômes du rhume
Éprouvé, sûr et efficace lorsqu’il est utilisé selon les directives, Advil Rhume et Sinus Plus sous forme de caplets contient 200 mg d’ibuprofène pour soulager le mal de gorge, la douleur sinusale, les céphalées, la fièvre et les douleurs et courbatures mineures dus au rhume et à la grippe. Il renferme aussi 30 mg de chlorhydrate de pseudoéphédrine et 2 mg de maléate de chlorphéniramine (pour en savoir davantage à ce sujet, consultez la section Renseignements détaillés sur Advil Toux, Rhume et Grippe et Advil Rhume et Sinus).
Advil Rhume, Sinus et Grippe Extra Fort est efficace pour combattre les symptômes du rhume et de la grippe
Éprouvé, sûr et efficace lorsqu’il est utilisé selon les directives, Advil Rhume, Sinus et Grippe Extra Fort sous forme de caplets contient 400 mg d’ibuprofène pour soulager le mal de gorge, la douleur sinusale, les céphalées, la fièvre et les douleurs et courbatures mineures dus au rhume et à la grippe. Il renferme aussi 60 mg de chlorhydrate de pseudoéphédrine et 4 mg de maléate de chlorphéniramine (pour en savoir davantage à ce sujet, consultez la section Renseignements détaillés sur Advil Toux, Rhume et Grippe et Advil Rhume et Sinus).
Tolérabilité comparative de l’ibuprofène dans le cadre d’un essai clinique à répartition aléatoire d’envergure
Au cours de l’étude PAIN, dont le rapport a été publié dans la revue Clinical Drug Investigation, l’ibuprofène a affiché le profil de tolérabilité globale suivant2,3 :
- Profil statistiquement équivalent à celui de l’acétaminophène
- Profil supérieur à celui de l’acide acétylsalicylique (AAS)
Cet essai d’envergure à répartition aléatoire comparant des doses d’AAS, d’acétaminophène et d’ibuprofène en vente libre auprès de 8677 adultes a permis d’évaluer la fréquence des effets indésirables importants liés à la tolérabilité. Le paramètre d’évaluation principal était le nombre de patients ayant subi au moins un effet indésirable important, défini comme une manifestation grave, sévère ou modérée ayant nécessité une deuxième consultation d’un médecin ou l’arrêt du traitement, ou dont l’intensité n’était pas précisée. L’analyse statistique visait à déterminer l’équivalence entre l’ibuprofène et l’acétaminophène, et la différence entre l’ibuprofène et l’AAS2,3*.
AAS = acide acétylsalicylique.* Il s’agissait d’une étude multicentrique menée avec insu dans des cliniques de médecine générale et évaluant, du point de vue des patients avec l’aide des médecins, le traitement par l’AAS, l’acétaminophène (tous deux à une dose maximale de 3 g par jour) ou l’ibuprofène (à une dose maximale de 1,2 g par jour), administrés pendant au plus 7 jours pour soulager la douleur associée à des problèmes courants. Au total, 1108 omnipraticiens ont fourni des données relatives à 8677 adultes (2900 traités par l’AAS, 2886 traités par l’ibuprofène et 2888 traités par l’acétaminophène; le dossier de 3 patients ne précisait pas le produit reçu). Les principales indications étaient les douleurs musculo-squelettiques ou dorsales (48 %) et le mal de gorge, le rhume ou la grippe (31 %).
Lorsqu’il est utilisé selon les directives pour traiter la douleur aiguë, l’ibuprofène en vente libre est bien toléré2*
Au cours de l’étude PAIN, à laquelle ont participé plus de 8500 patients, les manifestations digestives (dont la dyspepsie) et la douleur abdominale ont été moins fréquentes avec l’ibuprofène (200 mg) qu’avec l’AAS (500 mg) ou l’acétaminophène (500 mg) (p < 0,035 dans tous les cas)
Cet essai d’envergure à répartition aléatoire comparant des doses d’AAS, d’acétaminophène et d’ibuprofène en vente libre auprès de 8677 adultes a permis d’évaluer la fréquence des effets indésirables importants liés à la tolérabilité. Le paramètre d’évaluation principal était le nombre de patients ayant subi au moins un effet indésirable important, défini comme une manifestation grave, sévère ou modérée ayant nécessité une deuxième consultation d’un médecin ou l’arrêt du traitement, ou dont l’intensité n’était pas précisée. L’analyse statistique visait à déterminer l’équivalence entre l’ibuprofène et l’acétaminophène, et la différence par rapport à l’AAS2,3*.
AAS = acide acétylsalicylique
* Il s’agissait d’une étude multicentrique menée avec insu dans des cliniques de médecine générale et évaluant, du point de vue des patients avec l’aide des médecins, le traitement par l’AAS, l’acétaminophène (tous deux à une dose maximale de 3 g par jour) ou l’ibuprofène (à une dose maximale de 1,2 g par jour), administrés pendant au plus 7 jours pour soulager la douleur associée à de problèmes courants. Au total, 1108 omnipraticiens ont fourni des données relatives à 8677 adultes (2900 traités par l’AAS, 2886 traités par l’ibuprofène et 2888 traités par l’acétaminophène; le dossier de 3 patients ne précisait pas le produit reçu). Les principales indications étaient les douleurs musculo-squelettiques ou dorsales (48 %) et le mal de gorge, le rhume ou la grippe (31 %).
Profil d’innocuité cardiovasculaire
Le risque cardiovasculaire associé à l’ibuprofène dépend de la dose et n’a pas augmenté avec l’utilisation des doses recommandées des médicaments en vente libre (≤ 1200 mg/jour)4-8† :
Dose d’ibuprofène | Andersohn et al., 2006 | Garcia-Rodriguez, et al., 2008 | van Staa et al., 2008 | Fosbøl et al., 2009 | McGettigan et Henry, 2011 |
< 1200 mg/jour | RR : 1,05 (IC à 95 % : 0,91 à 1,22) | ||||
≤ 1200 mg/jour | RR : 0,99 (IC à 95 % : 0,81 à 1,21) | RR : 1,00 (IC à 95 % : 0,80 à 1,25) | RRI : 0,92 (IC à 95 % : 0,86 à 0,97) | RR : 1,05 (IC à 95 % : 0,96, 1,15) |
* L’emploi prolongé continu peut accroître le risque de crise cardiaque ou d’accident vasculaire cérébral.
AINS = anti-inflammatoire non stéroïdien; COX-2 = cyclo-oxygénase‑2; IC = intervalle de confiance; RR = risque relatif; RRI = rapport des risques instantanés
† Andersohn et ses collaborateurs ont mené une étude cas-témoins emboîtés au sein d’une cohorte de 486 378 personnes inscrites dans la base de données GPRD (General Practice Research Database) du Royaume-Uni et ayant reçu au moins 1 ordonnance d’un AINS entre le 1er juin 2000 et le 31 octobre 2004. Les rapports des taux d’infarctus du myocarde aigu associés à l’emploi d’un AINS sélectif ou non sélectif de la COX-2 ont été calculés. La durée de chaque ordonnance d’AINS a été déterminée en divisant la quantité de comprimés prescrits par le nombre de comprimés à prendre chaque jour. L’exposition « courante » correspondait à une prescription d’AINS se terminant dans la période de 14 jours précédant la date de référence. L’exposition « récente » correspondait à une provision s’étant épuisée de 15 à 183 jours avant la date de référence, et l’exposition « antérieure » à une provision s’étant épuisée de 184 jours à 1 an avant la date de référence. La non-utilisation était définie par l’absence d’utilisation de quelque AINS que ce soit au cours de l’année ayant précédé la date de référence. Les rapports des taux semblaient augmenter avec les doses quotidiennes plus forts des inhibiteurs de la COX-2 et étaient plus élevés chez les patients ne présentant aucun facteur de risque cardiovasculaire majeur.
Garcia Rodriguez et ses collaborateurs ont mené une analyse cas-témoins emboîtés dans la population générale des dossiers médicaux de la base de données The Health Improvement Network au Royaume-Uni. Le risque d’infarctus du myocarde a été évalué chez 716 394 personnes âgées de 50 à 84 ans entre janvier 2000 et octobre 2005 (durée moyenne du suivi : 4,1 ans). L’exposition aux AINS était qualifiée de « courante » si la plus récente ordonnance procurait des provisions jusqu’à la date de référence (jour de l’apparition du premier signe ayant mené à l’hospitalisation) ou prenait fin dans les 7 jours précédant la date de référence; de « récente » si l’ordonnance prenait fin de 8 à 90 jours avant la date de référence; d’« antérieure » si l’ordonnance prenait fin de 91 à 365 jours avant la date de référence; et de « nulle » si aucune utilisation d’un AINS n’avait été consignée dans l’année précédant la date de référence. L’exposition courante était subdivisée en trois catégories : « unique » lorsque le sujet avait utilisé un seul AINS au cours du mois précédant la date de référence; « multiple » lorsque le sujet avait utilisé 2 AINS différents ou plus au cours de la semaine précédant la date de référence; et « successive » lorsque le sujet avait utilisé un seul AINS au cours de la semaine précédant la date de référence, mais qu’il avait aussi utilisé au moins un autre AINS dans les 8 à 30 jours précédant la date de référence.
van Staa TP et ses collaborateurs ont mené une étude de cohorte rétrospective qui regroupait 729 294 patients de la base de données GPRD (General Practice Research Database) du Royaume-Uni. L’étude évaluait le RR d’infarctus du myocarde chez les patients qui étaient âgés de ≥ 40 ans au moment où ils ont reçu une première ordonnance d’un AINS. Les données de 1987 à 2006 ont été incluses dans cette étude, et la durée médiane du suivi des sujets de la cohorte AINS était de 6,1 ans. Les patients ont fait l’objet d’un suivi entre la première ordonnance d’un AINS (date de référence) et le moment de leur décès, l’orientation vers un spécialiste, la dernière date à laquelle les données de la base GPRD étaient disponibles pour l’étude (premier trimestre de 2006) ou la date de la première ordonnance d’un AINS sélectif de la COX-2, selon la première de ces éventualités.
La période totale de suivi des utilisateurs d’AINS a été divisée en deux périodes, soit « l’exposition courante » et « l’exposition antérieure », les patients passant d’un groupe à l’autre en fonction de leur utilisation d’un AINS. L’exposition courante correspondait à la période allant de la date de la prescription d’un AINS jusqu’à la fin de la durée prévue de l’utilisation, plus 3 mois. La durée prévue de l’utilisation d’un AINS a été estimée à partir de la dose quotidienne prescrite par l’omnipraticien et du nombre de comprimés d’AINS.
Fosbøl et ses collaborateurs ont mené une étude de cohorte historique pour évaluer le risque d’infarctus du myocarde et de décès associé à l’utilisation d’AINS à partir des données relatives à plus de 1 million de Danois en bonne santé âgés de plus de 10 ans. Une bonne santé correspondait à l’absence d’antécédents d’admission à l’hôpital et de prise concomitante de certains médicaments en concomitance (la liste complète des médicaments est fournie dans le rapport de l’étude). Les AINS ont été utilisés pendant une période allant de 9 à 34 jours.
McGettigan et Henry ont réalisé une revue systématique des études d’observation contrôlées menées dans la communauté pour déterminer les risques cardiovasculaires des AINS. La revue incluait 38 études portant sur l’ibuprofène. La prescription d’un AINS était considérée comme « courante » si elle couvrait une période incluant la date de référence (le jour de la survenue de la manifestation indésirable d’origine cardiaque) ou si elle se terminait une semaine ou moins avant la date de référence. Les résultats étudiés comprenaient l’infarctus du myocarde, le décès par coronaropathie ou un critère composite comprenant l’infarctus du myocarde et le décès par coronaropathie.
Profil d’innocuité hépatique et rénale
Selon les résultats des études cliniques, il semble que l’ibuprofène entraîne moins de lésions hépatiques aiguës que les autres AINS :
Archives of Internal Medicine, 1994 (Garcia Rodriguez LA et al.)
- Parmi les 8 AINS étudiés, c’est l’ibuprofène qui a été associé à la plus faible incidence de lésions hépatiques, soit 1,6 cas pour 100 000 utilisateurs. L’incidence associée aux autres AINS était la suivante (par ordre croissant) : diclofénac par voie orale (3,6/100 000), naproxène (3,8/100 000), acide méfénamique (2,5/100 000), kétoprofène (8,8/100 000), piroxicam (6,0/100 000), fenbufène (11,9/100 000), sulindac (148,1/100 000)12†
Postgraduate Medicine, 2018 (Moore N et al.)
- Comparativement à l’ibuprofène, le risque d’hépatotoxicité est un peu plus élevé et mieux documenté avec l’acétaminophène, et selon les données rapportées, il est plus élevé avec certains AINS, comme le diclofénac administré par voie orale et le sulindac13†
Selon des études épidémiologiques, l’ibuprofène à faible dose (≤ 1200 mg par jour) ne semble pas associé à un risque accru d’effets indésirables rénaux (p. ex. insuffisance rénale ou lésions rénales)‡
American Journal of Epidemiology, 2000 (Griffin MR et al.)
- L’utilisation d’ibuprofène à des doses ≤ 1200 mg/jour a été associé à un rapport des risques instantanés de 0,94 (IC à 95 % : 0,58 à 1,51) pour les EI rénaux (insuffisance rénale)9†
Pharmacotherapy, 1999 (Perez-Gutthann S et al.)
- Aucun effet indésirable majeur lié à des lésions rénales (insuffisance rénale aiguë) n’a été observé durant l’étude10†
Pharmacotherapy, 1992 (Furey SA et al.)
- Les lésions rénales (insuffisance rénale aiguë ou toute autre lésion rénale) ne comptaient pas parmi les effets indésirables signalés après la prise de doses d’ibuprofène en vente libre11†
AINS = anti-inflammatoire non stéroïdien; IC = intervalle de confiance
† Garcia Rodriguez et ses collaborateurs ont mené une étude de cohorte rétrospective comprenant une analyse cas-témoins secondaire. L’étude incluait 536 cabinets de médecine générale en Angleterre et au Pays de Galles pour la période allant d’octobre 1987 à août 1991. Un total de 625 307 personnes qui ont reçu plus de 2 millions d’ordonnances pour un des 12 AINS ont fait l’objet d’un suivi visant à estimer le risque de nouvelle lésion hépatique aiguë. L’incidence des lésions hépatiques aiguës chez les utilisateurs d’AINS était de 3,7 sur 100 000. Le sulindac était le seul AINS associé à un risque de lésions hépatiques aiguës considérablement plus élevé que celui associé à l’ensemble des AINS. L’incidence des lésions hépatiques aiguës chez les utilisateurs d’indométacine, de diflunisal, de ténoxicam et de fénoprofène n’a pas été précisée. Les auteurs de l’étude concluent que le risque de lésions hépatiques aiguës associé à la plupart des AINS est assez faible pour ne pas être préoccupant.
Moore et ses collaborateurs ont passé en revue les données publiées sur l’innocuité digestive et hépatique de différents analgésiques en vente libre autres que l’aspirine, y compris des AINS (ibuprofène, kétoprofène, diclofénac et naproxène) et l’acétaminophène. L’innocuité des produits en cas de surdosage a aussi été évaluée. Les articles décrivant des essais cliniques, des méta-analyses et des études épidémiologiques ont été évalués aux fins d’inclusion dans la revue; les auteurs se sont surtout intéressés aux études portant sur des doses et des durées d’utilisation correspondant à celles qui sont recommandées pour les produits en vente libre. Les effets digestifs représentaient 75 % de l’ensemble des EI observés dans les études. Dans toutes les études présentées ici, le risque d’effets toxiques digestifs graves, y compris les saignements gastro-intestinaux hauts et les ulcères gastroduodénaux, était faible aux doses recommandées pour les produits en vente libre.
Griffin et ses collaborateurs ont réalisé une étude cas-témoins emboîtés auprès des personnes âgées de ≥ 65 ans inscrites au programme Medicaid du Tennessee, afin de déterminer le rôle des AINS dans la détérioration aiguë de la fonction rénale. Les cas étudiés comprenaient des patients qui avaient été hospitalisés pour une insuffisance rénale aiguë acquise dans la collectivité. Dans le cas de l’ibuprofène, le rapport de cotes associé à une dose ≤ 1200 mg/jour était de 0,94 (IC à 95 % : 0,58 à 1,51) et augmentait en fonction de la dose (il était de 1,89 [IC à 95 % : 1,34 à 2,67] pour les doses allant de plus de 1200 à moins de 2400 mg/jour, et de 2,32 [IC à 95 % : 1,45 à 3,71]) pour les doses supérieures à 2400 mg/jour. Les chercheurs ont recensé toutes les ordonnances exécutées pour ces médicaments dans les 365 jours précédant la date de référence (date de la première hospitalisation des patients) : 6 % des utilisateurs courants d’un AINS avaient commencé à prendre ce médicament dans les 30 jours précédents; 33 % avaient utilisé un AINS pendant moins de 180 jours au cours de l’année précédente; et 61 % avaient utilisé un AINS pendant plus de 180 jours.
Pérez-Gutthann et ses collaborateurs ont mené une étude de cohorte au Royaume-Uni afin d’évaluer le risque de survenue d’un nouvel épisode de saignement gastro-intestinal haut, d’insuffisance hépatique ou rénale aiguë, d’agranulocytose, d’anémie aplasique, d’affections cutanées graves et d’anaphylaxie dans les 30 jours suivant la première ordonnance de diclofénac pour administration orale, de naproxène ou d’ibuprofène à faible dose. Au total, on dénombrait 22 146 utilisateurs de diclofénac (≤ 75 mg), 46 919 utilisateurs de naproxène (≤ 750 mg) et 54 830 utilisateurs d’ibuprofène (≤ 1200 mg). L’âge, le sexe et les affections concomitantes étaient comparables dans les 3 cohortes, qui étaient constituées d’hommes et de femmes âgés de 15 à 85 ans. Parmi les 54 830 sujets ayant utilisé l’ibuprofène (≤ 1200 mg/jour) dans l’étude, il y a eu 2 cas d’atteinte hépatique. Un seul cas d’insuffisance rénale potentiellement mortel a été rapporté chez un utilisateur de naproxène, et aucun chez les utilisateurs d’ibuprofène.
Furey et ses collaborateurs ont évalué l’innocuité de doses uniques des différentes teneurs d’ibuprofène en vente libre en examinant les effets indésirables signalés au cours de 15 essais à répartition aléatoire, contrôlés et à double insu portatn sur l’utilisation du médicament dans le traitement de différentes affections douloureuses courantes (p. ex. céphalée, mal de gorge). Toutes les études comprenaient un placebo et un autre analgésique en vente libre, l’acétaminophène. Au total, 878 sujets ont reçu l’ibuprofène à 200 mg (n = 171) ou à 400 mg (n = 707), 849 ont reçu l’acétaminophène à 650 mg (n = 237) ou à 1000 mg (n = 612), et 852 ont reçu un placebo. Les sujets étaient âgés de 16 à 79 ans, présentaient divers problèmes de douleur, mais étaient par ailleurs en bonne santé. Selon les données rapportées, aucun EI rénal n’a été signalé; les effets indésirables étaient principalement associés au tractus gastro-intestinal et au système nerveux central).
‡ L’innocuité de l’ibuprofène utilisé selon les directives à une faible dose (≤ 1200 mg/jour) et pendant une courte période a été démontrée. Advil ne doit pas être utilisé durant plus de 3 jours pour la fièvre ni plus de 5 jours pour la douleur, sauf sur l’avis d’un médecin. Veuillez consulter la monographie du produit pour obtenir des renseignements complets sur la posologie et le profil d’innocuité.
Comme les autres AINS, l’ibuprofène bloque la synthèse des prostaglandines rénales, ce qui peut compromettre la fonction rénale et causer une rétention sodique. Le débit sanguin rénal et le taux de filtration glomérulaire ont diminué chez des patients atteints d’insuffisance rénale légère qui ont pris 1200 mg d’ibuprofène par jour pendant une semaine.
Le risque de toxicité rénale est le plus élevé chez les patients qui présentent une dysfonction rénale, de l’insuffisance cardiaque ou une dysfonction hépatique, ou qui prennent des diurétiques, ainsi que chez les personnes âgées. La prudence est de mise lors de l’emploi de l’ibuprofène chez les patients présentant un risque de toxicité rénale ou atteints d’affections prérénales. Pour obtenir des renseignements complets sur l’innocuité, veuillez consulter les mises en garde et précautions ainsi que les effets indésirables décrits dans la monographie du produit.
Éprouvé en clinique pour soulager les symptômes douloureux légers et modérés dus au rhume et à la grippe1
Les études publiées documentent l’efficacité de doses de 200 mg et de 400 mg d’ibuprofène pour le traitement de la douleur légère ou modérée, y compris le mal de gorge, la céphalée et les douleurs musculaires chez les adultes1.
Un seul comprimé d’Advil est souvent tout ce qu’il faut pour soulager la douleur aiguë légère ou modérée, notamment2 :
- les maux de gorge
- les céphalées et la migraine
- les douleurs musculaires
- les crampes menstruelles
- les maux de dents
Advil réduit aussi la fièvre.
Efficacité éprouvée en clinique pour soulager le mal de gorge
L’ibuprofène s’est révélé efficace de manière statistiquement significative pour soulager le mal de gorge au cours de l’étude suivante :
Clinical Pharmacology and Therapeutics, 1988 (Schachtel BP et al.)
- Il s’agissait d’une étude menée à double insu, avec dose unique et groupes parallèles visant à évaluer le soulagement de la douleur associée au mal de gorge. L’ibuprofène a été plus efficace que l’acétaminophène aux évaluations effectuées de 180 à 360 minutes après l’administration de la dose (p < 0,01) et plus efficace que le placebo à toutes les évaluations (p < 0,01)14*.
*Schachtel BP et al. ont mené une étude à double insu, avec dose unique et groupes parallèles auprès de patients souffrant de pharyngoamygdalite, qui ont été répartis aléatoirement pour recevoir 400 mg d’ibuprofène, 1000 mg d’acétaminophène ou un placebo. Toutes les heures pendant 6 heures, les patients ont évalué l’intensité de la douleur ressentie et le degré de soulagement sur des échelles classiques, ainsi que deux caractéristiques sensorielles du mal de gorge (« enflure de la gorge » et « difficulté à avaler ») sur deux nouvelles échelles visuelles analogiques.
Sarah a besoin d’un soulagement efficace de son mal de gorge et de ses autres symptômes du rhume
Sarah* a deux jeunes enfants qui exigent une surveillance constante. Elle fait de la fièvre depuis hier et elle s’est réveillée ce matin avec un mal de gorge, une douleur sinusale et des courbatures. Même si elle fait du télétravail et doit souvent participer à des visioconférences et parler au téléphone, il lui faut tout de même être très attentive aux besoins de sa famille, même quand elle est enrhumée ou grippée. Sarah espère obtenir un soulagement efficace, notamment de son mal de gorge, afin de pouvoir s’occuper de tout.
Ses symptômes : mal de gorge, douleur sinusale, courbatures et fièvre
Advil Rhume, Sinus et Grippe Extra Fort est indiqué pour soulager la douleur et atténuer la fièvre associées au rhume et à la grippe. Des études ont démontré l’efficacité d’Advil pour soulager1,2 :
- le mal de gorge
- les maux de tête
- les courbatures
- la fièvre
*Cas fictif
Recommandez Advil à vos patients pour soulager la douleur aiguë
Advil Toux, Rhume et Grippe et Advil Rhume et Sinus
Advil Toux, Rhume et Grippe et Advil Rhume et Sinus, pour un soulagement rapide et efficace des symptômes du rhume et de la grippe et des symptômes sinusaux2
Advil – pour répondre à tous les besoins de vos patients en matière de soulagement de la douleur aiguë
Produits Advil pour enfants
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